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Sibylle
Tienne
Que croire lorsque l’autre saisit votre humeur pour s’en faire des billets
J’ai toujours la frousse
Rien que de rimer
Ça me rend mousse
Et parfois je rends la bille
Alors que si
J’étais plus habile
Je pourrais seulement tisser des songes salutaires
Ceux qui signent et saignent et suintes
De délicatesses à faire pâlir les pédants
Que faire lorsque dans les évidentes cases de pingouin
On ligote les mains de ceux qui dorment sans rien
Une musique peut faire partir vers d’autres pensées
Celle peut être plus affirmée
Qui vient remettre tous les périls en question
Et les accords et les gens et les riens
On ne sait plus on l’ou habite
On nous fourre dans nos huttes
Mains sur les bouches
Sur nos brancards de tocards
Tout cela est louche
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