top of page

Sibylle
Victorienne
Rivage ou cent pas vont et rêves,
Cépages aux lèvres qui s’élèvent,
Grandiloquentes, nos pensées affirment
Que le cœur sait plus que nos films
Ceux dans la tête qui bave
Créer des ruisseaux ou nage
L’enfant heureux, rit et embrasse
Algues sur la tête, un sourire passe
Les plus beaux baisers, naissent d’étoiles
Qui font leur travail, mettent les voiles.
Font les amants des cahiers de poésie
Racontent leur chemin, cachent les ennuis
Et lorsque peaux se touchent, s’abandonnent
Alors accueille se couche, vierge et nonne
Dans nos mouvements lecture de rimes
Les plantes se meuvent dans nos mimes
Je parle à Moïse, petite verdure sans jardin
Qui trône sur mes meubles, chantant refrain
bottom of page